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Les éditions Niffle passent sous le pavillon Dupuis

21 octobre 2013 par Frederic Niffle
  • Quelques explications...
    Ça permet de mieux apprécier le dessin car il y a un bord blanc libéré qui touche chaque case. Aucune case n’est étouffée et l’œil cerne mieux le dessin. C’est frappant pour ceux qui l’ont vu.
    C’est une particularité de ces années-là où les planches étaient construites en deux parties, avec des petits A et B.
    A cette époque, les planches n’étaient pas pensées pour l’album, mais pour le journal avec un suspense en bas de page. En montrant une seule planche par double page, on retrouve le suspense de fin de planche, car l’œil ne peut plus se promener sur la planche suivante comme (...)

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