Franquin entre son et lumière sur la RTBF !

• Par ailleurs, on doit pouvoir critiquer (avec des arguments) un travail de réédition mal fait sans se faire traiter, peu prou, de vieux c** passéiste. Cet automatisme mental ne vous honore guère.
  La première édition était d’ailleurs loin d’être un chef-d’œuvre de maquette, mais son fourmillement iconographique avait le mérite de la générosité.
  Les rééditions patrimoniales de qualité abondent depuis quelques années, elles sont à juste titre encensées, mais "sans la liberté de blâmer il n’est point d’éloge flatteur", comme dirait (...)