Loin au-dessus des têtes, là où les visiteurs ne promènent pas leurs regards, vit une colonie de chats, aux traditions bien ancrées. Et ces matous-là semblent vivre plusieurs réalités...
Nouvelle livraison de la collection liant Futuropolis au Musée du Louvre, et nouvelle contribution asiatique, après notamment Taniguchi et Araki. Si l’idée de départ ne manque pas de poésie, le traitement déçoit. L’architecture du musée pâtit du style tremblotant très particulier de Matsumoto, bien plus à l’aise dans des trames tendues et mouvementées (Amer Béton ou Ping Pong par exemple).
Quant aux personnages humains, notamment la gardienne bienveillante, rien de bien nouveau dans le petit monde des clichés vus du Japon : charmante, un peu triste, mais surtout très fade...
DT
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