QUESTIONNEMENTS. Les Miburo sont devenus les protecteurs officiels du fief d’Aizu. Ils décident de se faire fabriquer un uniforme pour être identifiables. C’est à la grand-mère de Nio que le design va être confié. Accompagné par Hajime et Tarô, Nio va avoir l’occasion de passer un peu de temps avec elle et se remémorer de beaux souvenirs. Mais l’arrivée d’un mystérieux jeune garçon dans la boutique de la grand-mère chamboule leur projet et va entraîner un nouveau combat.
Entre la beuverie des Miburo et la tentative de Tôdô pour séduire une fille avec l’aide de Nio (sans réel intérêt), le premier chapitre se veut plutôt drôle et sans prise de tête. Il pose une ambiance joyeuse et sans enjeux particuliers. En revanche, l’atmosphère évolue peu à peu avec l’arrivée de Kikuchiyo. Nio va se retrouver face à de nouveaux questionnements et obstacles.
Ce tome confronte deux visions diamétralement opposées : celles de Naozumi et Kikuchiyo. Le premier veut revenir à l’ancien ordre en période de guerre et le second veut préserver la paix et trouver un équilibre avec les étrangers, suite à l’ouverture des frontières japonaises. Un schéma qui ne tient pas compte des samurais, laissés pour compte....
MN
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