C’était un moment privilégié pour les quelques spectateurs invités. Pendant près de deux heures, le grand dessinateur coréen Kim Jung Gi a dessiné accompagné par le son du violoncelle. Le dessin inspirant la musique et celle-ci inspirant le dessin, Kim Jung Gi a réalisé une composition qui faisait écho à son exposition à la Galerie Maghen : Rêves de Corée.
Les dessinateurs français présents ne cachaient pas leur admiration voyant le dessin s’élaborer sans aucun crayonné : « Sa mémoire visuelle est colossale, nous dit l’un d’eux. Ses anatomies, les machines qui sont mises en place démontrent son incroyable capacité d’observation. »
Il n’y a pas seulement des dessins de Kim Jung Gi accrochés aux cimaises : le dessinateur coréen est accompagné d’un groupe d’artistes qu’il a réuni autour de lui à Séoul : Superani. Beaucoup d’entre eux étaient présents hier soir.
Que vous soyez acheteur ou simple badaud, l’exposition est visible jusqu’au 4 mai 2019.
DP
Voir en ligne : LE SITE DE LA GALERIE MAGHEN-
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