Deux frères, tous deux parents en difficulté, se retrouvent quand Étienne est viré du domicile conjugal. Sylvain, lui, vit sa solitude avec un mélange de philosophie et de totale immaturité. Pour eux deux, une nouvelle vie sociale s’ouvre, et les découvertes multiples à venir, à commencer par les "pères indignes anonymes"...
Après le feu d’artifice de Saint-Étienne Lyon, on tombe de haut. Les personnages sont les mêmes, projetés dans un autre contexte, mais où est passé l’humour ? On a l’impression d’une sacrée baisse d’inspiration, tant les gags manquent de force. Le plus souvent, Pères indignes se contente de jouer la provoc facile et l’humour noir blasé.
DT
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