Gen a surpris Ito qui parlait de ses sentiments amoureux à Raku. Il essaie de la faire parler. S’ensuit une série d’explications plus étranges les unes que les autres. De son côté, Shû à un comportement qui inquiète Ito.
La déclaration de l’héroïne aurait dû faire avancer les choses avec Gen. Mais non, le héros s’avère à côté de la plaque, ce qui aboutit à un statu quo. C’est arrangeant qu’il soit peu futé en amour pour laisser durer le scénario ! En même temps, c’est plutôt cohérent, car les précédents tomes montraient déjà son manque d’aisance et de perspicacité en matière de relations humaines. Le déroulement, lui, est assez amusant grâce au quiproquo qui se met en place. Plus les personnages essaient d’arranger les choses, plus la situation devient absurde et drôle. Les grimaces de l’héroïne ajoutent également un petit quelque chose à cette situation grotesque.
Après cet évènement, l’histoire se concentre sur Shû. L’acceptation de l’autre comme il est et la bienveillance sont au rendez-vous. Ses soucis d’interactions avec les autres et sa timidité rendent son envie de faire des efforts plutôt attendrissante. Tout cela se déroule avec une touche d’humour porté par les actions d’Ito et Gen qui interfèrent comme des parents.
Les scènes sont assez classiques et l’évolution entre les deux personnages principaux est plutôt lente. Les échanges et les agissements font tout de même sourire, car les évènements prennent des tournures ridicules. Enfin, Shû a le droit à quelques pages plaisantes, mais les autres membres de la famille ne sont toujours pas assez mis en avant.
MN
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