DESSINS. Déjà très courant dans les salons et conventions plus geek, les flashs tatouages se sont installés au FIBD. Grâce à la jeune illustratrice et tatoueuse Cogumeli, le label 619 innove encore.
Pour la première année, le label 619, édité par Rue de Sèvres, possédait un stand à part entière. Un peu esseulé dans l’ancien hangar ferroviaire rebaptisé Alligator attenant au Manga City, il a creusé son trou. Entre les stands de hotdogs et la piste de skate-board, les albums multiprimés des membres cohabitaient avec le salon éphémère de tatouage de la nouvelle venue Cogumeli.
La jeune illustratrice, apparue dans les deux derniers Lowreader, a, durant le week-end, empoigné ses aiguilles pour proposer des flashs purement dans son style ou inspirés des albums du label.
Si la foule ne s’est pas déplacée dans ce lieu excentré du FIBD, RUN, fondateur du Label 619 n’est pas alarmiste : "On est contents, les gens viennent quand même et surtout c’est une première pour nous". D’autant plus que la tatoueuse affichait complet, bien accompagnée par une ambiance chill et rock digne du label.
KN
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