Avec des objets (de l’autographe à l’album rare) pouvant atteindre des valeurs astronomiques (des centaines de milliers d’euros), l’œuvre d’Hergé, et plus particulièrement ce qui touche à Tintin attire les faussaires.
La gendarmerie française a ainsi récemment démantelé un réseau qui avait fabriqué des contrefaçons d’une valeur de 300 000 euros.
Dans son article en ligne pour le quotidien Le Soir, Daniel Couvreur évoque également les nouveaux moyens de contrôle mis au point par les héritiers d’Hergé.
Un comité d’authentification va être mis sur pied (présidé par Fanny Rodwell, herself évidemment).
Chaque objet rare bénéficiera d’un certificat unique, sécurisé par d’ingénieux systèmes de marquage...
DT
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