Le saviez-vous ? L’Atlantide existe toujours. Évoquée par Platon dans le Timée puis dans le Critias, l’île est en réalité une cavité secrète géante située dans la Méditerranée en dessous de Malte où vit recluse jusqu’à aujourd’hui une civilisation fuyant l’humanité.
Ses habitants nous ressemblent, à vous et moi, et sont capables de prendre possession des corps des humains. Ils sont dirigés par un super-villain qui vit à Marseille et se cache sous la fausse identité d’un médecin français, virologue de réputation internationale, qui utilise le savoir-faire ancestral des Atlantes pour soigner les gens, quasiment par miracle.
Répandant un virus de sa fabrication en Asie, assez loin pour qu’on ne soupçonne pas qu’il a été créé en Europe, le Dr Demetrius Covid, c’est son nom, a fabriqué une machine infernale qui permettra aux Atlantes d’affaiblir le genre humain avant de la détruire complètement. Mais c’est compter sans le tisseur de toiles qui, à l’aide de Namor (Sub-Mariner), le « Prince des mers », arrive à s’introduire dans la base sous-marine des Atlantes et à neutraliser le « Mad Scientist » Dr Covid. Ouf ! L’Humanité peut respirer (avec un masque dans un premier temps, cependant…)
En réalité, le personnage du Mad Scientist ne date pas d’hier : il avait été créé par Sara Compton, Jean Thomas et Winslow Mortimer dans Spidey Super Stories #4 en janvier 1975 et n’était jamais reparu depuis. Il est frappant de voir que dans sa première version, il ressemble presque trait pour trait au professeur marseillais.
Le pitch, écrit par Jon Watts (Spider-Man : Homecoming) a tellement emballé la Marvel qu’elle projette de développer une mini-série, d’ores et déjà optionnée par la plateforme Disney+, avec un acteur français (évidemment…) dans le rôle du « Mad Scientist » : rien moins que Fabrice Luchini. Il paraît que son phrasé dans la langue de Shakespeare est du meilleur effet et qu’il a convaincu les producteurs. C’est un autre Français, Timothée Chalamet, qui incarnerait Namor.
On a hâte de voir ça !
(par Didier Pasamonik (L’Agence BD))
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Quoi ? Il n’est pas frais mon poisson ? Et oui, beaucoup d’entre vous ont observé que nous étions le 1er avril, le jour des farces et chaque année, nos lecteurs le savent, nous produisons quelques poissons. Plusieurs de nos informations d’aujourd’hui avaient le fumet d’un hareng saur... Nous demandons aux victimes de ces plaisanteries de bien vouloir nous excuser. Idem pour les agences de presse et les chers collègues qui reprennent nos dépêches (à la ligne). La rédaction d’ACTUABD.com.
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