Mort de Louis Cance, figure du fanzine Hop ! et dessinateur de Pif

C’est très triste, toutes mes condoléances à ses proches et à sa famille. Son Hop ! était une précieuse revue de références, avec une longévité incroyable, j’espère que cette revue continuera grâce à l’équipe qu’il avait rassemblée.

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• Répondu par Evariste BLANCHET (bananas-comix) le 18 décembre 2023 à  09:20 :
  

  Il est totalement exclu que Hop ! continue. D’abord parce que Hop ! sans Louis Cance ne serait plus Hop ! Certes, il n’était pas seul à l’animer (je pense en particulier aux contributions nombreuses et régulières de Marc-André), mais qui serait en mesure aujourd’hui d’établir des bibliographies aussi fournies que les siennes ? Ensuite parce que je suppose (c’est une hypothèse, je ne possède aucune information à ce sujet) que les membres officiels de l’association éditrice de la revue sont probablement de sa famille, ou très proches, et situés à Aurillac – à l’inverse de la quasi-totalité des collaborateurs qui habitent Limoges, Argenteuil, Lagraulet du Gers ou ailleurs – et qu’au bout d’un demi-siècle, ils en ont un peu marre de Hop ! Je peux bien entendu me tromper mais le fait que les obsèques de Louis Cance aient été organisées par sa famille dans la plus grande discrétion me semblent aller dans ce sens.

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Doux hommage...
Une nouvelle bien mélancolique ;Louis cance était un passeur, et son acharnement à maintenir ce cher "hop !" A,pour ma part,permis de découvrir plus avant des Gloesner, Marijac,Brochard etc,etc...il m’a ouvert les yeux sur des Gigi,Giffey, le rallic, Mathelot et des publications, ces petits formats, deq "feuilletons"comle le copieux dossier consacré à Jean Ollivier, scortchy Smith etc.. cette autre approche de la bande dessinée, une culture populaire composée souvent d’étoiles filantes..
Un homme très sympathique, disponible et d’une sincère humilité. .je regrette infiniment de ne pas lui avoir reecrit pour lui en savoir gré

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Merci pour cet hommage bien mérité au grand professionnel que fut Louis Cance, à qui des générations d’historiens et essayistes du 9ème art doivent tant !
Je relis avec plaisir et tristesse tout à la fois l’importante correspondance que nous échangions depuis une quarantaine d’années : Louis était aussi une généreuse et attentionnée personne, toujours prêt à partager ses grandes connaissances, à donner les renseignements pertinents quand on le sollicitait (ce que j’ai fait souvent).
Sa disparition laisse un grand vide dans les rangs de ceux qui partagent sa passion pour l’histoire de la bande dessinée.
Adieu Louis, toujours vivant à travers son oeuvre et dans ma mémoire, et pensées émues pour sa compagne Simone et son fils Hubert.

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Louis Cance a été durant 50 ans une figure majeure de la recherche sur l’histoire de la bande dessinée. Sa revue "Hop !" s’attachait particulièrement à la bande dessinée populaire, un domaine souvent méprisé par ses confrères. L’homme était à l’image de sa revue : modeste et érudit. Pour les futurs chercheurs, les 166 numéros de "Hop !" resteront une extraordinaire mine d’informations.

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Triste nouvelle en effet. Lecteur de pif étant enfant, il est pour beaucoup dans mon amour pour la BD.

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Le dernier des géants de l’histoire de la BD. Je m’incline devant ce vieil ami. Il avait eu beaucoup de plaisir de se voir décerner le Grand prix Papiers Nickelés pour l’ensemble de son oeuvre l’an dernier. Je n’échangerai plus avec lui les "morts du trimestre" par téléphone. Qui va bien pouvoir continuer son travail ? Relisant ces dernières semaines l’intégralité des Hop ! pour compléter mes fiches, je mesure l’immensité de e savoir qu’il nous a transmis avec son équipe. Salut l’ami !

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Une très triste nouvelle. Louis avait un immense talent, aussi bien comme dessinateur que comme historien et théoricien de la bande dessinée. Pendant de longues années, j’entretins une longue relation épistolaire avec lui grâce au fait que j’étais correspondant en Espagne de son fanzine Hop !, en lui envoyant régulièrement des nouvelles et des actualités de la b.d. de mon pays, bien que je ne l’ai rencontré en personne qu’une seule fois, lors du Salon d’Angoulême en 1984. Il restera toujours dans la mémoire de ceux d’entre nous qui avons eu le plaisir de traiter ou collaborer avec lui.

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Salut,
Une perte immense pour le milieu du 9ème Art.
Son travail, d’une rare qualité, restera une source d’informations, d’érudition et de plaisir...
Pensées émues envers ses proches.

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