Comix Club Numéro 4 – Revue critique de la bande dessinée

Amusant, Comix Club est diffusé par le même diffuseur que celui qui diffusait Bananas ou l’Eprouvette ! Comme quoi le monde est petit...

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• Répondu par Didier Pasamonik le 7 mai 2007 à  23:30 :
  

  Espérons que cette revue-ci ne suive pas le même chemin...

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• Répondu par Jean-Paul Jennequin le 9 mai 2007 à  21:56 :
  

  Ben, il faut dire que des diffuseurs, pour les petits éditeurs, il n’y en a pas 36 : le Comptoir ou Makassar (le diffuseur de Scarce, n’est-ce pas, Michel ?) Donc, comme ça tombe forcément sur l’un ou l’autre, il y a des coïncidences.

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"Les critiques présentent une poignée d’albums et le numéro 2 de L’Eprouvette, sous le titre « avant-garde et vieilles badernes » (un article auquel nous adhèrons complètement)."
C’est étrange de placer cela dans un article sans pour autant faire une vraie chronique sur L’Eprouvette (ou alors je n’ai pas assez cherché). Il y a de quoi se poser des questions sur votre objectivité, ou tout simplement sur votre sérieux...

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• Répondu par Didier Pasamonik le 23 mai 2007 à  17:22 :
  

  C’est étrange de placer cela dans un article sans pour autant faire une vraie chronique sur L’Eprouvette (ou alors je n’ai pas assez cherché). Il y a de quoi se poser des questions sur votre objectivité, ou tout simplement sur votre sérieux...

  Nous n’avons pas, cher monsieur, l’ambition de l’exchaustivité, d’autant que cette revue ne s’inscrit pas dans notre ligne éditoriale. Par ailleurs, comme nous sommes des gens sérieux, nous évitons de tirer sur les ambulances.

  Quant à notre objectivité, elle vaut bien la vôtre.

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  • Répondu par Antoine le 24 mai 2007 à  09:18 :
    

    Mon intervention n’était pas une attaque, ce que je n’ai pas compris à la lecture de cette phrase c’est cette façon de placer une petite pique sans pour autant aborder clairement le sujet. Mon objectivité est sans doute à remettre en cause, car pendant un moment j’ai cru que Comix Club et L’Eprouvette avaient une ligne éditoriale semblable. Mais L’Eprouvette se radicalise sur ces choix (plus que sur ces propos), et j’ai l’impression que ce n’est pas par manque d’exhaustivité (impossible à atteindre dans ce domaine, nous sommes d’accord) que vous n’en parlez pas. Excusez ma naïveté et mon impertinence.

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• Répondu par Didier Pasamonik le 24 mai 2007 à  09:28 :
  

  Si vous tapez le mot "Éprouvette" dans le moteur de recherche de ce site, vous saurez ce qu’on en pense. Il n’est pas nécessaire d’en rajouter, d’autant que, à ce qu’on dit, la revue s’arrête.

  En revanche, ce qui nous plaît dans Comix Club, c’est un certain plaisir de la critique sans esprit de chapelle fabriqué de toute pièce pour des raisons commerciales.

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  • Répondu par Erwin Dejasse le 25 mai 2007 à  09:39 :
    

    En revanche, ce qui nous plaît dans Comix Club, c’est un certain plaisir de la critique sans esprit de chapelle fabriqué de toute pièce pour des raisons commerciales.

    Ah ben flûte ! Repéré. Ben oui, en fait tout ce foin c’était pour l’argent. Je peux enfin révéler à toute la planète BD que "L’Eprouvette" était mue par des instincts bassement commerciaux. Il fallait voir les réunions de rédaction.
     Quelqu’un a des idées ?
     On va créer de toute pièce un esprit de chapelle !
     Ah ouais super ! On va se faire un max de blé !

    Il fallait voir Jean-Christophe Menu, des euros plein les yeux, se rêvant déjà en Vincent Bolloré de la BD indé. D’ailleurs, je m’étonne que personne n’ait remarqué plus tôt le caractère vénal de l’Association. Les rentrées générées par Matti Hagelberg assurent à elles-seule la pérennité financière d’une dizaine d’actionnaires. Et le départ de Trondheim était un coup de génie permettant de lester l’entreprise d’un gros salaire. Un peu comme quand l’Inter de Milan revend Luis Figo en fin de carrière au prix fort à un club saoudien.

    Bon, je vous laisse. Je dois passer chercher ma Porsche à l’entretien avant de retrouver Menu qui m’invite à passer quelques jours sur son yacht au large des îles Tuvalu.

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    • Répondu par Didier Pasamonik le 25 mai 2007 à  10:13 :
      

      Ah, cet Erwin Dejasse, toujours impayable, et toujours empressé à jouer les roquets de garde de l’Éprouvette, sans doute pour mieux rappeller sa présence au sommaire.

      Évidemment, c’est bien connu, L’Association ne gagne pas d’argent, JC Menu travaille à l’oeil (ses droits d’auteur lui suffisent pour vivre) et la filiale de distribution qu’il a fondée avec Latino Imparato, Le Comptoir des Indépendants, distribue gratuitement ses diffusés.

      Tous ces gens travaillent pour l’art, et seulement l’art, et Persépolis de Marjane Satrapi ne garnit ni les caisses de l’Association, ni les poches des salariés de la structure qui, rappelons-le, travaillent pour rien.

      En gros, dans votre conception du monde, M. Dejasse, il y a d’un côté les gros qui gagnent du pognon illégitimement : Soleil essentiellement, si l’on en croit l’orientation de vos attaques ; de l’autre, des bons Samaritains fragiles parce que créatifs et créatifs parce que fragiles.

      Que Persépolis ait vendu, si l’on en croit les communiqués de presse de ces derniers jours, "un million d’exemplaires dans le monde", cela ne joue pas : L’Association reste une "petite" structure "indépendante".

      Tiens, ça me rappelle un cartoon publié au moment du rachat de Dargaud par ce qui allait devenir Média-Participations : "Le pognon, Glénat en gagne et le groupe Ampère".

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