Depuis quelques années, Julie n’est plus la seule à subir cette calamité orange qui lui en fait voir de toutes les couleurs. Floyd, le labrador (qui ne donne pas sa part au chien soit dit en passant) , Hubert, son collègue de bureau et stupidon (l’ange et cousin de Cupidon) pour n’en citer que trois, sont venus enrichir l’entourage de la jolie célibataire. Ces compagnons d’infortune sont venus étoffer l’univers somme toute assez restreint de Nelson et les sources d’inspiration de gag dans ce microcosme semblent être intarissables pour Christophe Bertschy.
Une véritable mécanique du rire à la redoutable efficacité. Une, deux, trois cases et le sourire sur le visage du lecteur est garanti, qu’il soit tout jeune ou adulte car il touche au quotidien de tout un chacun. Un enchaînement sans fin de gags à répétition déclenchant systématiquement la libération de l’hormone du bonheur appelée aussi la sérotonine. Même après 26 albums, on ne s’en lasse pas.
(par David SPORCQ)
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