La fin des années 2010 correspond au renouveau de la BD locale. Face à la défaillance des éditeurs, des auteurs se prennent en mains et s’autoéditent. Dans la foulée de Pahé, quelques artistes gabonais se font connaître à l’étranger, en particulier en Europe.
Le début des années 2000 se caractérise essentiellement par la publication d’œuvres de commande. C’est en particulier le cas de Lybek, bon spécialiste du genre.
Le Petit Tsa (texte et scénario de Michel Ikamba), édité par la World Conservation Society (...)