Chevalier Ardent poursuit sa chevauchée en intégrale

• Vous avez parfaitement raison, ami Jérome. Certains éditeurs peu scrupuleux ont flairé la bonne affaire.Plutôt que d’investir dans de la coûteuse création (ou recherche-développement ?), peu rentable en général, ils préfèrent décliner leur magnifique patrimoine accumulé au cours des décennies précédentes, car cela coûte moins cher puisque essentiellement composé de rééditions, et les auteurs et les personnages sont connus et reconnus à leur juste valeur. Cela s’appelle les
  rééditions patrimoniales et cela marche plutôt bien...
  Je dois toutefois reconnaitre que je suis parfois déçu par l’aspect final de ces (...)