Five, T3 & 4 - Par Shiori Furukawa - Kana

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Une fois n'est pas coutume, les aventures qui attendent les Fives sont rocambolesques. Au cours d'une fête de l'école peu commune, on fait la connaissance des personnages à qui l'on doit notamment l'effondrement de la falaise lors de l'épreuve de sport. Le comité des étudiants permet à Shiori Furukawa d'introduire de nouveaux personnages encore plus déjantés et de redonner un peu de piquant à son histoire.

C’est bientôt la fête de l’école et comme les autres classes, les "A+" sont en pleins préparatifs. Et comme d’habitude, la répartition du budget est totalement farfelue ! En effet, les délégués tirent au sort une boule numérotée de 1 à 100 qui détermine à la fois les objectifs et le budget. Toshi, incroyablement malchanceux au tirage au sort, a sorti la boule 64 soit un objectif de 64 000 yens avec un budget de 32 000 yens. [1] Malheureusement, Hina se fait voler l’argent avant la fin de la journée mais c’est l’occasion de rencontrer de nouveaux personnages très intéressants.

Mitsu Nakagome, un petit génie des maths et en informatique, éternel rival de Tairaku ; Kana Komoro, capitaine du club de karaté, en perpétuelle compétition avec Kojirô ; Tooru Yamachika, le président du conseil des élèves, instigateur des nombreuses épreuves inhabituelles qui attendent les lycéens mais avant tout "Toshimaniac" ; et enfin Etsu Nakagome, vice-présidente, et sans doute la plus saine d’esprit au milieu de cet asile de fous.

Five, T3 & 4 - Par Shiori Furukawa - Kana

Graphiquement, on ne peut pas dire que Shiori Furukawa se soit foulée. La seule différence entre Etsu et Hina, c’est la forme des lunettes et la coupe de cheveux. Le coup de crayon est assez stylé mais ne plaira peut-être pas à tout le monde. Entre les personnages qui ont de grands yeux qui leur mangent la moitié du visage et ceux qui ont l’air à moitié endormis, l’auteur a du mal à se décider.

Reste l’humour, le seul point original de ce manga mais la mangaka aurait pu aller plus loin. Elle ne semble pas assumer totalement ses choix scénaristiques. Par contre petit coup de cœur pour le match de tennis du volume 4 qui est tordant.

(par Stéphanie Francqueville)

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