Après plus de quatre années à parcourir le monde, après s’être battu contre des Amazones, avoir échappé à des militaires belliqueuses, appris pourquoi le fléau à eu lieu, fait un enfant et défait un nombre incalculable de menottes ; Yorick Brown arrive à Paris, dernier lieu ou a été aperçu sa fiancée : Beth.
Mais Yorrick doit faire face à plusieurs questions personnelles : Beth sera-t-elle là ? Lui plaira-t-il encore ? Et que ressent-il réellement pour l’agent 355 ?
Entre train transsibérien, cryptes parisiennes et chambres d’hôtels animées, Yorrick devra prouver qu’il est un homme avant d’être le dernier homme.
Si la série de Brian K. Vaughan avait connu un très léger essoufflement dans le neuvième tome, elle se conclut ici en apothéose. Action, révélations, et imagination du futur de la Terre dépeuplée de ses hommes.
La fin justement plait... ou ne plait pas, mais ne laisse personne de marbre. On s’attendait peut être à autre chose, quelque chose de plus classique, mais le résultat est là : les auteurs on su amener leurs personnages au bout de leur quête et concluent la vie de chacun, avec plus ou moins de fatalité. De quoi justifier le titre de cette conclusion.
(par Nicolas Depraeter)
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