Kerascoët et Hubert nous emmènent à la cour du Roi Maxence, où la vilaine Morue va se métamorphoser en une odalisque nommée Beauté. Un conte de fée piquant qui inaugure une série en variation sur le thème « miroir, mon beau miroir ».
Les lois de la génétique n’ont pas gâté Morue qui est née plutôt vilaine, le nez de travers, les oreilles en chou-fleur et les yeux globuleux. Affublée de ce physique ingrat, Morue est la risée du village et la souffre-douleur de sa marraine. Jusqu’au jour où, errant près du lac, (...)