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Joann Sfar, le sexe, la violence et les exégètes de bande dessinée.

30 juin 2012 par dave.j
  • Il est vrai que dans notre société désincarnée virtuelle tertiaire, c’est tellement beauf de terminer ce sur quoi on s’est engagé ! C’est tellement plus branché de ne pas finir, trop la classe spirituelle ^^
    Finir son ouvrage c’est juste bon pour les petits artisans moutons besogneux ringards et sans grand talents...
    En fait, je ne crois pas que cela soient les lecteurs qui soient trahis, mais bien l’énergie de l’histoire dont l’auteur est censé être au service... Mais bon, être au service, c’est tellement réac et pétri de (...)

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