Il n’y a pas de fatalité : quand un personnage est repris par un autre dessinateur, un autre scénariste, on n’est pas obligé de tomber toujours dans un traitement à l’imagination médiocre, motivé par le seul appât du gain, le marketing paresseux voire par une trahison assumée qui n’est rien d’autre qu’un aveu d’impuissance. En résumé, ce « goût de trop peu » que l’on constate dans bien des séries classiques qui perdurent au-delà de l’arrêt des créateurs d’origine. La meilleure reprise de 2023, ce ne sont ni (...)