Les éditions Philéas poursuivent leurs adaptations de grands classiques dystopiques : cette fois, c’est au tour du Passeur, de Lois Lowry, de connaître le dessin et la couleur… du moins, à mesure que progresse un récit qu’un apport visuel permet de particulièrement mettre en valeur.
Jonas vit dans une communauté idyllique, ou du moins présentée comme telle. Tout y est réglé comme du papier à musique, et personne ne songe à questionner ce qui passe pour des évidences.
À chaque âge correspond une fonction (...)