Or donc, voici un ouvrage, « Flatulences en cases » qui s’attache à exciter un de nos sens rarement sollicités lors d’une lecture : l’odorat. Mais encore ? Il s’annonce comme « une évocation culturelle du pet dans la bande dessinée ». Un sujet indigne d’Angoulême ? Certes, mais en ces temps de pudibonderie imbécile, alors que la bande dessinée entre en majesté à l’Académie française et dans les plus beaux musées, rappeler son caractère vulgaire -c’est-à-dire populaire- est œuvre de salubrité.
Les vacances sont (...)