Adaptation luxuriante d’un classique de la littérature persane, un impressionnant tour de force graphique qui présente des pages fascinantes. Seul hic, le texte, qui malgré sa poésie en alexandrins, est un peu à l’étroit dans cet éblouissement de couleurs.
Comment ne pas s’éblouir de la splendeur graphique qui nous est présentée ici ? C’est la grande qualité de Majnoun et Leïli, mais aussi un élément perturbant dans la lecture.
Mais venons-en d’abord à l’histoire, inspirée d’un conte traditionnel persan. (...)