Fin de partie pour la revue « Casemate » ?

• Le comble, c’est que Casemate préfigurait au mieux ce qu’on peut attendre aujourd’hui d’une revue sur l’univers BD : équilibre quasi parfait entre news et analyse, approche patrimoniale autant qu’aux avants-postes des mouvements, mise en page intelligente.
  DBD étant plus dans l’exhaustivité de la production et les grands dossiers (à recommander aux bibliothécaires)...
  BoDoï ayant sombré dans le foutraque depuis plus d’un an (tiens, le départ de Vidal ?), on peut s’en passer...
  Pourvu que Casemate prouve que l’intelligence finit par payer...
  C. (...)