À notre avis, fin janvier, Besnehard doit être en train de se faire rôtir la couenne dans les îles des Antipodes, car nous, on y est chaque année, au Festival. Une douzaine de journalistes d’ActuaBD, et certains depuis plus de 40 ans !
On a tous connu les hôtels réservés depuis six mois, les restos pleins à rabord, et même les vendeurs de sandwichs où l’on fait la queue pendant des plombes sous le frimas.
Si Besnehard est venu « plein de fois » au Festival, c’est sans doute pour avaler des petits fours chez le maire, car nous, les festivaliers, on ne l’a jamais vu, ni dans les stands, ni dans les restos, ni dans les bars de la ville, ni au Mercure où l’on campe jusqu’à 3 heures du matin.
Et quoi ? Il va nous faire croire que ses festivaliers à lui passent de longs jours à faire les restaurants gastronomiques de la région et pas les nôtres ? Mépris de nanti !
Besnehard prétend que ce sont les chiffres. Qu’il nous le prouve, ce bougre de faux-jeton à la sauce tartare ! Où sont-ils, ses chiffres ?
Merci à Yves Calvi et à Monique Younès d’avoir ri aux éclats face aux prétentions de ce Oliveira da Figueira plein de pellicules (de film) et d’avoir défendu une manifestation qui, quoique prétende Besnehard, apporte davantage au rayonnement international de la Ville d’Angoulême que son festival du film de province.
#FFA2021 : Dominique Besnehard et les fans de BD "qui prennent des sandwichs", ce matin dans #LaisssezVousTenter 😂 (cc @bdangouleme) pic.twitter.com/1Kl15yDNMt
— Laissez-Vous Tenter - RTL (@LVT_RTL) August 24, 2021
DP
En médaillon : Dominique_Besnehard au Festival du film de Cabourg en 2014. Photo : Georges Biard, CC BY-SA 3.0 via Wikimedia Commons.
(par Didier Pasamonik (L’Agence BD))
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