Il y a des journées pourries. Celles qui commencent par un réveil prématuré, après avoir passé une nuit entrecoupée de mauvais rêves et d’angoisses du lendemain. Celles qui commencent par un café raté et le constat d’une météo dégueulasse. Il faut quand même se bouger parce qu’il faut bien aller bosser et faire du mieux qu’on peut avec des jeunes qui semblent ne plus avoir envie de rien. On a envie de bousiller ce système qui parait inadapté, mettre un grand coup de pied dans cette fourmilière qui répugne de (...)