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Alain Berland : « Il n’y a plus de premier, ni de neuvième art ! »

14 septembre 2010 par Malo
  • ...mais après on ne vient pas pleurer.
    Quand on accepte les termes d’un contrat, on ne peut s’en prendre qu’à soit même.
    Signer un mauvais contrat c’est se faire du tord à soi-même mais aussi à d’autres jeunes auteurs à qui les éditeurs vont dire " oui mais XXX à accepté, lui." Enfin il faut vraiment compter sur un bon succès de libraire pour esperer pouvoir négocier un meilleur contrat au livre suivant donc ça ne me parait pas un bon calcul.

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