Un commentaire ?
Les splendeurs de « Quai d’Orsay »
6 décembre 2011
par LC
-
A peine à la cheville d’une planche de Franquin ...
Mais j’attends qu’un jour il nous fasse une BD réaliste qui lui demanderait énormément de temps et de sueur. Là il montrerait à tous la grandeur de son art.
La grandeur d’un art ne se mesure pas au temps et à la sueur. Vous citez Franquin comme maitre étalon (voulu le "ai"), mais donnez-moi le titre de sa "BD réaliste qui lui demanda énormément de temps et de sueur" avec laquelle "il vous a montré la grandeur de son art" ? Deux poids deux mesures (...)
Derniers Commentaires