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Les splendeurs de « Quai d’Orsay »

6 décembre 2011 par Oncle Francois
  • C’est très simple : en dépit de l’immensité de son talent, Franquin était insatisfait de nature. Donc même en étant l’auteur à succès de la série-titre du journal, il était constamment la proie du doute, de l’angoisse et de graves périodes de dépression. Notamment quand il se sentait coincé dans son style(excellent pourtant !!). Spirou fut longtemps pour lui un fardeau, au point qu’il dut s’entourer de nombreux assistants et scénaristes pour assumer sa charge de travail. Gaston fut pour lui un havre de liberté, mais devient lui-même pesant à la longue. Il s’amusa sans doute graphiquement avec ses magnifiques (...)

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