Franquin et les fanzines, portrait d’un mastodonte

• Je n’ai pas encore tout lu, mais je ne peux que confirmer : Franquin se sentait libre lorsqu’il était interviewé par des fanzines, il répondait avec une sincérité déconcertante aux questions des apprentis-journalistes (qui étaient les seuls, à l’époque, à avoir une connaissance approfondie de son oeuvre), et se livrait. De plus, le livre présente les principaux intervenants de l’époque, qui tous, ont contribué par leur travail bénévole à la reconnaissance du média.