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Michel-Édouard Leclerc : « La surproduction dont le marché du livre pâtit va trouver sa soupape dans le numérique. »
20 juin 2014
par Raphael
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On part généralement du principe que si le produit est bon, il se vend dans un marché saturé ou non.
Ca serait trop beau, il y a de très bons livres qui ne se vendent pas et des daubes qui cartonnent (des spin-off à la chaine, des concepts éditoriaux, des séries qui n’ont de gags que le nom mais pas l’humour).
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