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Le Voleur d’estampes T. 1 - Par Camille Moulin-Dupré - Glénat

11 février 2016 par Nexus
  • L’histoire a ce même côté décalé, figé et lent que le dessin et la narration. On n’imagine rien de rapide dans ces moments figés comme les personnages dans leurs vies. Si le second tome, et la fin de l’histoire, se clos posément avec un tel rythme, c’est une vraie découverte. En plus rien n’est dessiné, tout est "construit" par ordinateur, donc c’est une vraie expérience de création graphique. Cela me rappelle des animations faites à partir de tableaux de Van Gogh et autres, mais je ne me souviens plus exactement quand.Le côté figé des tableaux avait imposé le principe du gag court avec animation limitée. (...)

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