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Covid-19 et BD 2020 : du rififi dans les festivals

10 décembre 2020
  • L’immense majorité des auteurs débutent en acceptant des conditions misérables. Et encore une immense majorité qui ne rencontre pas un succès minimum continuent d’accepter de mauvaises conditions. Parce qu’un auteur veut publier, parce que c’est une passion et les éditeurs jouent l’affectif pour profiter de cette situation. Comme l’État n’arbitre rien et est du côté du capital, rien n’avance et ce n’est pas les grognements du SNAC ou de Samantha Bailly qui changent quelque chose. Sans la création du CNAA avec une dotation de l’État suffisante pour lui permettre d’exister vraiment, rien ne (...)

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