Un commentaire ?

Vent de colère après l’éviction de Chantal Montellier du Festival BDFIL à Lausanne

30 juin 2007
  • En français, cela s’appelle "botter en touche". En suisse, aussi, sans doute. Au petit jeu du "c’est pas moi, c’est le voisin", nos libraires font porter le chapeau à la municipalité. C’est pas d’un très grand courage mais cela présente au moins un mérite : ils confirment qu’il y a bel et bien eu censure, ostracisme et irrespect de la création et plus singulièrement de CHANTAL MONTELLIER. Dont acte.
    Fabien Lance

Qui êtes-vous ?
Votre message (Modération a priori)

Derniers Commentaires