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Angoulême : L’université d’été et le sceptre de la crise

14 juillet 2008 par Didier Pasamonik (L’Agence BD)
  • Je ne sais pas pour les lettreurs. Mais les ventes sont ventilées sur beaucoup plus de titres qu’avant. C’est mathématique : la demande ne peut pas croitre aussi vite que l’offre. Par titre, on ne vend plus du tout autant qu’avant.
    Peut-être y a-t-il autant de série à 30.000 exemplaires qu’il y a vingt ans ? J’ai quelques doutes sur ce point. Les écarts se creusent entre les quelques meilleurs vendeurs et le peloton. On ne peut plus tirer un revenu suffisant des à-valoir, ni des droits d’auteurs (qui sont aussi liés à la pérennité des titres). La situation d’un auteur en bande dessinée est devenue (...)

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