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Le BDM, la "Bible" du collectionneur revient dans une version plus complète

Par Charles-Louis Detournay le 21 janvier 2021                      Lien  
Quatre ans après le précédent opus qui avait modifié sa trajectoire initiale, le BDM, l'argus du collectionneur de BD, revient à sa première formule avec bonheur dans une édition "considérablement augmentée". Examen.
Le BDM, la "Bible" du collectionneur revient dans une version plus complète
Le hors-série du Collectionneur de bande dessinée établisant les premières cotes (1979)

Si vous êtes collectionneur et passionné de bande dessinée, vous avez certainement déjà entendu parler du BDM ou alors l’avez-vous vu posé bien en évidence sur la table de votre libraire spécialisé, prêt à être dégainé dès qu’une question un peu pointue se profile.

Intitulé « Trésors de la bande dessinée » (Un titre inventé par Thierri Martens, voir l’un de nos précédents articles pour plus d’informations->art11194]), mais mieux connu sous l’acronyme de ces créateurs initiaux en 1979 qu’étaient Michel Béra, Michel Denni et Philippe Mellot, voilà en effet plus de quarante ans que ce catalogue s’est imposé comme la référence en matière d’argus pour le Neuvième art.

Paraissant tous les deux ans depuis 1981 après un premier amorce réussie en 1979 dans le magazine du Collectionneur de bande dessinée, le BDM relevait un challenge impressionnant : recenser alphabétiquement toutes les parutions de bandes dessinées depuis 1829, rajoutant avec le temps les tirages de tête, portfolios, comics et mangas en langue française, plusieurs centaines de journaux, les petits formats, bandes publicitaires, biographies et même des Pixis dans leurs chapitres respectifs.

Le premier BDM (1981)

Gagnant en importance et en reconnaissance à chaque édition, restant volontairement neutre tout en continuant d’affiner les analyses de terrain sur toutes les variantes entre les albums (y compris et surtout ceux d’Hergé), le BDM s’est donc progressivement imposé comme une référence incontournable. Vendeurs et acheteurs s’y référaient, que ce soit mieux pour en apprendre sur une série ou un album grâce à son impressionnante érudition encyclopédique, que pour s’entendre sur la cote d’un album du fait de sa qualité d’argus, vocable qui accompagne le titre de l’ouvrage depuis sa vingtième édition (2015-2016).

Un déclin programmé

Pourtant, à tout vouloir recenser, les spécialistes du BDM se sont progressivement heurtés à un problème de taille : d’édition en édition, l’épais catalogue ne faisait que grossir : 475 pages initialement, puis 600 en 1990, plus de 800 à l’aube des années 2000 pour finalement atteindre près de 1300 pages en 2008. Outre le poids (près de 2 kg en 2008), se posait aussi la question de la reliure, histoire d’assurer la solidité d’un volume susceptible de quotidiennes manipulations.

L’abondante production du début des années 2000 (pour rappel, le nombre de nouveautés a doublé entre 2000 et 2004 et triplé entre 2000 et 2007) a poussé ses concepteurs à devoir progressivement s’imposer des limitations. Première restriction : ne plus lister l’intégralité d’anciennes séries à rallonge à la cote stable, en renvoyant le lecteur aux précédentes éditions. Un choix certes raisonné, mais qui demandait alors aux passionnés de jongler avec deux, trois puis quatre éditions différentes : un vrai casse-tête.

Cette couverture de Chalant symbolise bien l’avalanche des nouveautés quii est celle de l’édition depuis plusieurs décennies, face à laquelle les rédacteurs du BDM ont dû faire des choix drastiques en 2010...

En 2010, cette cure d’amaigrissement s’est surtout portée sur le chapitre des revues, le guide se concentrant sur les titres réellement collectionnés. La place réservée aux couvertures d’albums, plus petites et moins fréquentes, a également été réduite, tandis que les chapitres des récits complets, petits formats et les objets 3D sont également supprimés. Pour l’édition 2013-2014, ce sont carrément tous les mangas qui ont retiré du catalogue : sans aucune restriction, Taniguchi, Tezuka et autres Otomo ont été balayés. Ainsi que les chapitres traitant de la BD publicitaire et celui des collections d’auteurs.

En dépit de tous ces sacrifices, le BDM devait continuer d’intégrer à chaque édition près de dix mille nouvelles références, tout en corrigeant quelques précédentes inexactitudes. Un défi qui devenait de plus en plus difficile à relever, surtout face à des bases de données en lignes comme Bedetheque.com qui ne rencontraient pas ce souci de place et pouvait corriger plus rapidement les coquilles.

Paru en 2016, cette 21e édition prend un tournant radical dans la conception de l’argus.

Pour sortir de cette quadrature du cercle, Philippe Mellot, le plus jeune des trois mousquetaires d’origine, a tenté un coup de poker en 2016 en proposant une édition de huit cent pages qui se concentrait sur les seuls albums cotés et en rajoutant un chapitre sur les ventes aux enchères. Si les connaisseurs pouvaient s’assurer de vendre et d’acheter à une cote remise à jour, l’aspect encyclopédique de cette « Bible de la BD » avait disparu, car tous les albums qui ne disposaient pas ou plus d’un prix différent d’une occasion classique avaient disparu, soit une bonne moitié des références par rapport aux précédentes éditions.

Malgré un prix de vente rabaissé et une édition entièrement en couleurs sur un papier de meilleur qualité, pas mal de particuliers ont regretté ce tournant un peu radical. Comme l’admet Philippe Mellot dans l’interview qu’il a accordée à Didier Pasamonik : « Avec quatre mille nouveautés par an à [incorporer] dans le BDM, cela devenait problématique à intégrer en terme d’épaisseur. J’ai voulu faire une édition intermédiaire plus spécifiquement réservée à la collection, avec une iconographie plus riche et amusante, et avec des photos des grands auteurs des années 1950-1960. Certains ont été un peu déçu, car l’aspect encyclopédique était très important [pour eux]. »

Philippe Mellot, le "M" du BDM
Photo : D. Pasamonik (L’Agence BD)

Le retour du phénix

Après l’édition de 2016 à la révision raisonnée, il n’y eut pas de nouvelle publication en 2018, ce qui pouvait laisser à penser que le BDM avait fait son temps, définitivement rattrapé les bases de données en ligne. Mais c’était reculer pour mieux sauter, comme l’explique toujours Philippe Mellot lors notre interview filmée : « Avec le changement d’éditeur, car les Éditions de l’Amateur ont été rachetées par les Arènes,[il nous a fallu] le temps de remettre tout cela en route : on a [donc] sauté une édition. »

Et cette vingt-deuxième édition, la voici ! Elle attire immédiatement l’attention grâce à son bandeau sur la couverture, indiquant une version « considérablement augmentée ». En effet, le BDM renoue avec son caractère encyclopédique, comme le souligne Mellot dans son introduction : « À l’exception des mangas (un univers graphique à part), ainsi que certains périodiques, petits formats et récits complets, vous retrouverez dans cette édition l’intégralité des BD parues en langue française de 1805 à nos jours. Environ 25.000 albums publiés depuis 2014, dont d’innombrables tirages limités, ont pris place aux côtés des quelque 130.000 titres déjà recensés. Soulignons également le « chapitre Tintin », entièrement revu et augmenté de nombreux commentaires bibliophiliques, avec la mise en exergue des éditions modifiées par Hergé. »

Bien entendu, sur ces 135.000 références, les pinailleurs pourront toujours trouver quelques petites approximations, mais à nos yeux, le défi de revenir à un contenu encyclopédique est largement relevé (même s’il faut toujours consulter les précédentes éditions pour retrouver les détails de certaines séries à rallonge).
Soulignons le fait que l’édition actuelle est imprimée entièrement en couleurs en dépit de son imposante pagination (1500 pages pour moins d’1,5 kg) et ses nombreuses illustrations. « Pour d’évidents problèmes d’espace, nous avons pris le parti de proposer une iconographie légèrement réduite, mais tout-à-fait exceptionnelle : d’anciennes affiches d’expositions et de salons de BD dont les dessins sont le plus souvent inédits ! », rajoute Mellot dans son introduction.

Une baisse générale des cotes, mais pas du marché...

Comme nous le constatons régulièrement sur ActuaBD, le marché de la bande dessinée continue de croître tant en termes de références de publication qu’en chiffre d’affaires. Par ailleurs, le secteur des enchères a explosé ces dernières années, de même que la vente d’occasions en ligne sur les différentes Marketplaces des grandes plateformes : albums, revues, portfolios et autres références cataloguées au BDM, sont venus complémenter un marché déjà dynamique. Déjà même avant le premier confinement, libraires spécialisés et galeries ont pu doper leur offre sur le Net, au point que certaines d’entre elles ont choisi de ne plus privilégier que ce vecteur de commercialisation.

Par voie de conséquence, certaines cotes ne progressent plus comme par le passé, quand elles ne dévaluent pas drastiquement. Cette tendance générale est peut être liée à l’explosion de l’offre qui s’opère depuis ces vingt dernières années.

L’évolution du nombre de sorties à partir de 2000
Extrait du rapport Gilles Ratier de 2016

Il était possible à un passionné de chercher à tout collectionner jusque dans les années 1980. Depuis, l’augmentation de la demande a été accompagnée voire dépassée par celle de l’offre : tirages de têtes, éditions de luxe ou limitées, para-BD, sans compter la multiplicité des genres : mangas, comics ou bande dessinée alternative qui ont connu un essor jamais rencontré auparavant.

Cela a durablement affecté les paramètres de l’objet de collection, comme l’explique Philippe Mellot à notre micro : « La cote précédente du BDM portait sur des albums en bon état, sans plus. Dans le BDM qui vient de paraître, la cote s’entend maintenant pour du très bon état, pour un objet de collection qui ne perdra pas sa valeur avec le temps. Car acheter un album en très bon état correspond actuellement à un juste équilibre entre passion et investissement, même si la passion reste le caractère principal des amateurs et des collectionneurs. »

La publication de grands formats en noir et blanc permet aux amateurs de trouver une substitution à l’achat d’un tirage de tête épuisé.

Concrètement, comment cela se traduit-il ? Par le maintien de la plupart des cotes par rapport à la précédente édition, ce qui rejoint cet effet de tassement général que nous évoquions. Si un album était coté 50 € pour un bon état sans plus en 2016, et que ce montant cible maintenant un très bon état, cela indique que l’album précédent essuie une décote de 20 à 35% de sa valeur. Et si la nouvelle cote de cet album est passée entretemps à 60 € à la place de 50€, eu égard aux exigences de l’état, il faut constater un tassement de sa valeur.

Seconde conséquence : toutes les séries, surtout franco-belges, qui par la passé disposaient d’une surcote en raison d’un état neuf remarquable sont alignées sur la cote la plus haute. Exemple : le premier Alix chez Casterman (Les Légions perdues) était côté en 2016 à « 300 € + 300% si état neuf », soit 1200 € s’il était donc impeccable. Le nouveau BDM le place désormais à 850 € pour un état neuf et retire définitivement toute indication de surcote.

Ce nouveau paramétrage génère une plus grande différence avec le site de la Bédéthèque.
Comment ces derniers vont-ils réagir ?
Extrait du site www.bedetheque.com

Au fil des pages

Des références comme Franquin, Moebius, Pratt, Bilal, Tardi et les autres s’en tirent globalement assez bien. Si on fait exception du premier tome de Corto Maltese donc la cote baisse un peu (ou plutôt n’augmente pas), toutes les autres restent stables ou montent un petit peu.

Si les séries de l’âge d’or se maintenant globalement bien (Blake & Mortimer, Astérix...), celles des années 1970 (par exemple : Bruno Brazil, Bernard Prince) patinent. Exemple : Le Hors-la-loi de Blueberry aux cahiers collés pour montait à 360 € pour un état neuf, il n’atteint plus désormais que 180 € pour un très bon état.

Perte d’intérêt pour les séries des années 1970 ?

D’autres séries perdent des plumes, comme Chick Bill, et surtout Chlorophylle qui perd facilement la moitié de sa cote. Même effet pour certains albums de Jijé comme Christophe Colomb ou plus légèrement avec Valhardi.

Des séries débutées dans les années 1980 ont perdu beaucoup de valeur, comme les Femmes en blanc dont plus aucun album n’est coté. Même sanction pour Jimmy Tousseul alors que les premiers tomes atteignaient 30 € dans le précédente BDM. Ceci ne se limite pas à Dupuis : une série comme le Merlin d’Istin a perdu toutes ses cotes.

Quant aux séries des années 1990 et 2000, elles essuient une nette baisse pour des séries comme Alpha, Blacksad, Golden City, Lou ! et Carmen McCallum, ainsi que les deux premiers Sillage qui perdent tout simplement la moitié de leur cote. D’autres publications parmi les premiers Delcourt ne sont d’ailleurs plus cotées, comme les 500 Fusils de Duval, Cailleteau et autre Vatine.

Alors que ce T. 2 avec son cahier graphique complémentaire dépassait les 120 €, il y a quelques années, sa cote n’atteint plus que 50 € dans le dernier BDM. Tandis que d’autres ne lui attribuent même plus de cote...

Quid des références comme Tintin et Spirou ? Elles suivent globalement ce tassement général, en gardant les mêmes montants pour une exigence à la hausse.

Toutefois, le collectionneur fera son profit des nombreuses références encyclopédiques qui viennent s’ajouter aux précédentes. Exemple : Tintin en Amérique. « À partir de l’édition C2, le gangster noir en p. 1 par un latino, le portier p. 29 est remplacé par un blanc et la nounou p. 47 est modifiée. »

Dans le franco-belge contemporain, on remarque toujours que des albums en fin de série, ou qui précèdent un changement d’éditeur, sont fort recherchés. Nous mettions précédemment en exergue le tome 33 du Scrameustache, et cela se confirme encore avec les derniers Caroline Baldwin parus chez Casterman avant leur passage chez Paquet. Il suffit d’ailleurs que l’éditeur descende un peu son tirage pour que l’album décolle par la suite, comme c’est le cas du tome 26 de Jeremiah (Dupuis) qui vaut plus du double que ses précédents et des suivants albums de la collection.

Cette tendance s’étend aux séries à rallonge que les amateurs n’achètent pas d’emblée lors de leurs sorties en librairie et qu’ils désirent rattraper par la suite. Pointons ainsi Les Chemins de Malefosse dont certains tomes assez récents (du début des années 2010) se vendent à 30 €, ou les Chinaman dont les derniers volumes deviennent plus recherchés que les premiers (25 € par tome). Pour ces derniers, rajoutons que de très belles intégrales viennent de paraître, nous vous en reparlerons prochainement.

Une tendance des fins des séries fort recherchées qui se confirment également avec tous les derniers Cubitus, fort prisés. Pareil chez Glénat avec Les Gringos, Le Mercenaire ou certains titres de la collection Vécu dont les derniers tomes de Cœur brûlé, du Fou du Roy ou de Masquerouge par exemple sont plus recherchés que le reste de la série. Même conclusion pourHans au Lombard, MacCoy chez Dargaud, Jeannette Pointu chez Dupuis et Harry Dickson chez Soleil. Ainsi que Vae Victis dont le premier tome a nettement perdu ces dernières années, passant de 100 à 30 €, pour au final se faire doubler par la valeur du dernier opus (50 €)

Notons enfin un attrait toujours présent des rééditions de classiques, dont le faible tirage fait rapidement monter les cotes. Le meilleur exemple reste les albums réalisés par Sangam avec les Kim Devil dont chaque tome monte maintenant à 80 €. Même chose avec pas mal d’intégrales de La Vache qui médite, La Coffre à BD et autre Hibou. D’un autre côté, on reste étonné de certaines cotes trop basses qui ne semblent pas toujours suivre le marché, comme celles des Labourdet édités chez Graton Editeur.

Paru en 2011, cette réédition de Kim Devil s’évalue déjà à 80 €.

Au terme de cette analyse, nous remarquons que le BDM reste davantage focalisé sur les anciens albums. De « nouvelles » séries comme Tyler Cross, Elfes, Airborne 44, Magasin général ou certains tirages limités comme ceux de Barracuda, ne sont tout simplement pas cotés, alors que leur prix de vente d’un tirage limité de Tyler Cross peut atteindre cent euros par exemple. Certains tirages sont également oubliés, ainsi que d’autres fin de séries pourtant assez recherchées, telle que La Route Jessica qui clôture Jessica Blandy de Renaud & Dufaux. A contrario, certains séries comme Katanga semblent surévaluées.

Tout aussi surprenant, la valeur des certaines séries qui semblent bien basse par rapport au prix du marché, comme le premier tome de L’Homme qui n’aimait pas les armes à feu de Lupano et Salomone qui reste à 30 € depuis des années selon le BDM, alors que d’autres références lui accordent volontiers une cote dépassant les 100€, ce qui est confirmé en vente aux enchères. La flambée des prix pour certaines intégrales dont celle d’Isabelle de Will passent également sous le radar de nos experts. Nodody is perfect !

Les trois intégrales en français pour près de 300 € TTC

Ce tassement du marché dans le chef de la première édition vient conforter la stratégie suivie par Philippe Mellot. En se repositionnant sur l’aspect encyclopédique du BDM, il lui offre un attrait durable. Quant aux séries actuelles qui pourraient être mieux suivies, elles seront sans doute mieux traitées à l’avenir : « Le BDM va continuer à grossir, en réintégrant encore plus d’informations dans le futur, toujours en un volume et au même prix grâce à la complicité de notre éditeur. » C’est plutôt une bonne nouvelle.

(par Charles-Louis Detournay)

Cet article reste la propriété de son auteur et ne peut être reproduit sans son autorisation.

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Code EAN : 9791037502582

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4 Messages :
  • C’est si bon de voir du vrai journalisme d’investigation, plein de sens critique :-D

    Répondre à ce message

  • Cette bible à laquelle j’ai adhéré depuis 1980 m’a tenté dans cette nouvelle édition.

    Malheureusement, je me demande pourquoi ce temps écoulé n’a pas permis à ses auteurs de rendre enfin plus exhaustive la liste des différentes éditions des albums Dupuis de la période 1943/1950 ?

    Par exemple le premier Valhardi paru en 1943 qui n’est signalé que pour disposer d’un prix de vente au premier plat alors qu’il dispose d’un n° d’autorisation (comme les Tintin de la même période) au quatrième plat !

    Ou encore ce premier volume de l’Epervier Bleu qui pourrait voir préciser ce qui le distingue de sa première édition datant en réalité de 1945 !

    En résumé, les 4ème plat de couverture des cartonnés Dupuis proposent des mentions différentes suivant les tirages.
    Alors pourquoi ne pas les mentionner comme pour les Japs attaquent par exemple ?

    Répondre à ce message

    • Répondu par François le 14 janvier 2022 à  17:53 :

      Bonjour.
      Message adressé à Carbo.
      Je découvre tardivement votre message.
      Je suis gros collectionneur des dupuis années 1940 à 1950. J’aurai plaisir à échanger avec vous si cela vous intéresse.
      Cordialement
      François

      Répondre à ce message

  • Très bel article sur le fond et sur la forme, très détaillé et retraçant bien l’histoire du BDM.
    Contributeur du BDM depuis de nombreuses années, je ne me lasse de le consulter et de l’utiliser pour gérer ma collection.
    Malgré toutes les critiques dont il fait l’objet, sur les cotes notamment, de nombreux marchands continuent de l’utiliser pour établir leurs prix de vente.
    Les ventes aux enchères, de plus en plus nombreuses en Europe, changent la donne et établissent de nouvelles cotes, à la hausse comme à la baisse, surtout pour des BD à l’état neuf pour lesquelles l’acheteur est prêt à payer très cher.

    Répondre à ce message

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