Psikopat n°252 : À table !

• C’est vrai que la qualité de la nourriture ne s’est guère améliorée au cours des cinquante dernières années. On est passé de la saine qualité de produits parfois livrés en quantité limitée (pendant la guerre et après), à une surabondance de produits de plus en plus industriels et mondialisés. Donc c’est trés chic à Paris de manger des sushis au thon albacore, des fraises argentines à Noël
  Quand j’etais jeune (années cinquante), les citadins venaient parfois prendre un bon bol d’air à la campagne, où ils pouvaient bien se restaurer. Poulets, canards, lapins, moutons et vaches étaient nos voisins-voisines, et (...)