> Le mensuel « Pif Gadget » en redressement judiciaire

• Effectivement, il y a là comme une contradiction. Mais le contexte était suffisamment clair pour ne pas prêter à confusion. Errare humanum est, sed perseverare diabolicum est.
  Quant à la remarque sur l’Internet, je pense qu’elle tombe sous le sens : une revue de BD comme Pif sur le Net, cela me semble impossible, d’autant que le modèle économique est loin d’être avéré.
  En revanche, je suis d’accord avec Pierre Paul, depuis que l’Internet existe, les revues d’analyse ou d’information sur la BD ont pris un peu de plomb dans l’aile, sauf des outils irremplaçables comme Le Collectionneur de BD qui n’ont pas (...)