Le Grand Prix d’Angoulême 1997 restera inscrit dans les annales du Festival comme le plus foireux. En cause, deux décisions des organisateurs (voir nos archives) qui se révèlent de très, très, très mauvaises bonnes idées : le remplacement du jury par un vote de l’ensemble des auteurs de BD ; la remise du prix plusieurs mois après le Festival.
La première a eu l’effet attendu : les auteurs de BD ont voté pour un dessinateur qui fait l’unanimité dans la profession (Goossens) mais qui est totalement (...)