Alors que Tezuka Productions annonce une suite à Black Jack d’Osamu Tezuka conçue, au scénario comme au dessin, par l’Intelligence Artificielle (IA), une sourde et déterminée bataille se mène en France à l’encontre les auteurs et les éditeurs qui oseraient utiliser de près ou de loin l’IA dans leurs publications. Premières victimes collatérales de ce combat : le dessinateur Thierry Murat et l’éditeur Locus Solus.
Qui a peur de l’IA ? Bon nombre d’acteurs de l’édition semble-t-il, y compris dans le domaine (...)