Tout commence dans un cimetière. Le ton est donné. Et pourtant, est-ce pour autant qu’il s’agit d’un roman graphique sur la mort ? Ce serait aller un peu vite en besogne : on y parle de la vie, du temps qui passe, des personnes qui disparaissent, mais aussi de celles qui naissent.
Tout semble sourire à Cécile : une famille aimante, un compagnon avec qui elle vient de se pacser, une nouvelle maison... Et puis vient la mort. Soudaine. Inattendue. D’abord de sa grand-mère Francisca. Puis de sa mère (...)