Dans cet Alix classique comme on les aime, Valérie Mangin convoque le mythe des Amazones pour élaborer une sorte de thriller antique constitué d’un écheveau d’éléments historiques rendus crédibles par un dessin martinien en diable, enluminé par les splendides couleurs de Jean-Jacques Chagnaud. Nous sommes à Thessalonique, capitale de la Macédoine sur les marches de ce qui deviendra l’empire romain, lui-même construit sur celui d’Alexandre le grand.
Depuis quelques temps, les jeunes filles disparaissent (...)