Une truie est accusée d’avoir provoqué la mort d’un cavalier. Or, au Moyen-Âge, un animal pouvait être traduit devant un tribunal ! Elle encourt donc la peine capitale, d’autant plus face à un juge qui n’a que mépris pour tout ce qu’il considère comme « inférieur ». Mais c’est sans compter sur l’audace et la fougue d’un avocat, déterminé à défendre la bête. Le procès se transforme alors en une satire sociale, proche de la fable, qui souligne à quel point les normes et les valeurs d’une société sont avant tout (...)