« Il sera une fois une mer asséchée, dont le sel aura brûlé tous les regards… » Sur cette devise mystérieuse, le nouveau récit de Marc-Antoine Mathieu se présente comme une scène à l’allure quasi mythologique, comme échappée d’un rêve. Des personnages silencieux (récurrents chez l’artiste) se livrent à un pèlerinage dans un désert jonché de ruines cubiques. Découvrant le vestige de statues de marbre anthropomorphes, ils vont entreprendre une communion à la lisière des mondes.
Marc-Antoine Mathieu n’a plus rien à (...)