Le 22 juillet 1998 un "avertissement judicieux" en couverture du Spirou n°3145 annonçait la publication "forcée" du premier gag de Maître Corbaque. Quelques 12 années plus tard, l’avocate véreuse revient défendre les braves gens, moyennant 50% des dommages et intérêts perçus, cela va de soi.
Et le comble c’est que ce sont ses potentiels pigeons... pardon, clients qui ont plaidé en faveur de ce retour, Que justice soit (mal) faite ! étant le premier album financé par des internautes (au nombre de 141) (...)