Alors que l’on attend que les candidats se déclarent et que d’autres sont sur les starting-blocks, on voit arriver dans le paysage un autre candidat qui veut être à la place d’un calife. Sauf que celui-là, c’est depuis 1962 que, sous le crayon de Goscinny et de Tabary, il ambitionne d’accéder au pouvoir. Le revoilà en lice, avec un programme qui parodie la célèbre anaphore de François Hollande « Moi, Calife… ».
Pourquoi le pugnace grand vizir n’y est-il pas arrivé jusqu’à présent. Parce que, il le déplore (...)