« Le Bébé des Buttes-Chaumont » est le dixième et le dernier des "Adèle Blanc-Sec" de Tardi. Et vraiment le dernier si l’on en croit l’artiste qui a tenu à l’écrire noir sur blanc à l’adresse des successeurs possiblement indélicats : « Gare aux faussaires qui seraient tenté(e)s d’y donner suite !!! » Ainsi s’achève une saga qui, parodique à ses débuts, a vécu des « Aventures Extraordinaires » peuplées de ptérodactyles, de savants fous, de momies et de monstres dans une Belle Époque steampunk qui déconstruisait les (...)
Adèle Blanc-Sec
-
Adieu l’Adèle, je t’aimais bien…
16 octobre 2022 Didier Pasamonik (L’Agence BD) -
Luc Besson : « Le film d’Adèle Blanc-Sec est un cadeau au public »
12 avril 2010 Charles-Louis DetournayCinéaste incontournable, Luc Besson est revenu à la réalisation pour adapter Adèle Blanc-Sec, la célèbre série de Tardi. Il nous explique les liens entre BD et cinéma, et nous annonce la prochaine adaptation de Valérian, de Christin & Mezières.
En 2006, vous aviez expliqué que les aventures d’Arthur et les Minimoys seraient vos dernières réalisations. Est-ce que c’est le challenge d’adapter Adèle Blanc-Sec qui vous a donné envie de reprendre la caméra ?
Après trente ans de bons et loyaux services, (...) -
Adèle Blanc-Sec, un divertissement réussi
12 avril 2010 Charles-Louis DetournaySortie ce mercredi de l’attendue adaptation d’Adèle Blanc-Sec par Luc Besson. Un pari osé, mais globalement réussi, le film assumant son objectif premier : divertir.
Pour les non-initiés, le BIFFF est le Festival International de Film Fantastique de Bruxelles. Depuis près de trente ans, c’est un rendez-vous incontournable pour les amateurs de films fantastiques qui aiment s’émouvoir et frissonner. C’est également un lieu où l’on ne se prend pas au sérieux : certains spectateurs se déguisent, les (...) -
Jacques Tardi : « J’arrête Adèle Blanc-sec »
12 novembre 2007 Charles-Louis DetournaySe sentant emprisonné par son héroïne, Tardi décide de conclure ses aventures dans un diptyque grandiloquent. Au passage, il nous explique l’avantage de la pré-publication dans l’Étrangleur, et nous décrit ses sources d’inspiration : les bistrots.
Votre précédent Blanc-Sec est paru il y a neuf ans. Il est de notoriété publique que vous balancez le titre de votre album sans en connaître une ligne, comme un pavé dans la mare ! A-t-il fallu autant de temps pour créer cette nouvelle trame ?
Non, mais j’ai (...)