Fin de la présentation du nouveau clan Goko, première bataille réelle de Nanoka et retour du Byoki : un tome dense qui synthétise une bonne partie des intrigues de la série, constituant un point d’étape important d’une excellente série qui développe un univers horrifique et mystérieux des plus réussis.
Nous retrouvons Mao, Nanoka et Hyakka face à un nouveau disciple de Shiranui, qui a décidé de recréer le clan Goko disparu il y a des siècles. Renji, cette jeune recrue, use d’un yueqin (luth japonais) pour (...)
Rumiko Takahashi
-
Mao T. 12 — Par Rumiko Takahashi — Éd. Glénat Manga
25 mai 2023 Guillaume Boutet -
Mermaid Saga, oeuvre majeure de Rumiko Takahashi, Grand Prix d’Angoulême
23 octobre 2021 Jaime Bonkowski de PassosYuta a un jour mangé de la viande de sirène, ce qui l’a rendu immortel. Après cinq cents ans de vie, de mort et de résurrection, son vœu le plus cher est désormais de retrouver sa mortalité pour enfin pouvoir vieillir puis mourir. Et à cette fin, la légende dit qu’il doit retrouver une sirène qui, à elle seule, sera à même de lui rendre son humanité. Il arpente donc le monde à la recherche de ces mythiques créatures, venant en aide au passage aux innocents persécutés. Avec cette réédition du chef d’œuvre de (...)
-
"Mao" : Rumiko Takahashi revient en force dans nos librairies
6 juillet 2020 Jaime Bonkowski de PassosLa créatrice géniale du cultissime "Ranma 1/2", Grand Prix du festival d’Angoulême en 2019, Rumiko Takahashi revient en force avec "Mao", une nouvelle série dans une veine shonen à base d’exorcistes, de yokais et de voyages entre les époques. Elle signe là son grand retour au Japon, et les deux premiers tomes viennent d’être édités en français par Glénat, présageant d’une série au long cours des plus passionnantes.
Le sacre de Rumiko Takahashi à Angoulême en 2019 avait défrayé la chronique, autant que son (...) -
La mangaka Rumiko Takahashi, Grand Prix d’Angoulême 2019 !
23 janvier 2019 Aurélien PigeatPour une surprise, c’est une surprise ! C’est donc une femme - la deuxième depuis la création du festival en 1974 – qui remporte le Grand Prix cette année. Rumiko Takahashi, idole d’une génération qui a vu débarquer le manga en France, l’emporte face au Français Emmanuel Guibert et à l’Américain Chris Ware. Une femme. Et une Japonaise. Une immense mangaka. Enfin.
Enfin, la porte s’ouvre ! Mais la route fut longue. Car Rumiko Takahashi n’est que la deuxième femme récompensée par un Grand Prix à Angoulême, (...) -
Ranma 1/2 "Perfect Edition" T1 - Par Rumiko Takahashi - Glénat
18 novembre 2017 Aurélien PigeatRetour d’une série culte dans un format spécial. L’occasion de (re-)découvrir en manga un titre-phare de la période "Club Dorothée". Formidable car l’œuvre n’a pas pris une ride, quelques trente ans après ses débuts. Même si l’on aurait aimé quelque chose d’encore plus poussé au niveau éditorial.
Arts Martiaux, romance et troubles de l’identité, voilà les ingrédients de base de ce shonen à destination des pré-adolescents, emblématique du manga des années 1980-1990. Rumiko Takahashi, 60 ans cette année, mangaka (...) -
Rumic world 1 or W - Par Rumiko Takahashi - Delcourt/Tonkam
28 décembre 2016 Guillaume BoutetHistoires de fantômes et de sportifs au programme de ce nouveau recueil d’histoires de la très vénérable et populaire Rumiko Takahashi. De la belle ouvrage mais destinée avant tout à ses lecteurs fidèles et de longue date.
On ne présente plus Rumiko Takahashi, du moins auprès des amateurs de manga de plus de trente ans. En effet durant les années 1980 et 1990, les adaptations animées de ses œuvres ont bercé toute une génération, que ce soit Lamu, Juliette je t’aime et Ranma ½.
Si Inu-Yasha a également (...) -
Inu-Yasha T48- Par Rumiko Takahashi - Ed. Kana
24 octobre 2012 Marc VandermeerL’histoire se déroule au Japon dans les années 1500. Inu-Yasha mi-démon mi-humain vole la perle de Shikon afin de devenir démon à part entière. La prêtresse Kikyô lui jette un sort pour l’éternité. Mais celle-ci meurt de ses blessures et sa dernière volonté est d’être incinérée avec la fameuse pierre afin que personne ne l’utilise jamais pour des fins maléfiques.
Au Japon, dans la période Sengoku, l’âge des provinces en guerre, le pays est miné par les turbulences sociales.
Inu-Yasha, un hanyo mi-démon (...)