La météo des bulles de l’épisode précédent était l’occasion pour Thomas d’en apprendre (et de nous en apprendre) plus à propos du marché de la bande dessinée québécoise. C’est d’ailleurs là qu’il s’est aperçu qu’il avait totalement oublié de vous rendre compte du rapport GFK-FIBD traitant du marché de la bande dessinée en France ! Si sa chronique est supposée être une prise de température du monde de la BD en temps réel, ce sera cette fois une prise de température un brin en retard. Mais passons. Ventes en légère baisse et prix du livre en hausse ; inflation de la pâte à papier et marché du comics tiraillé, tout tout tout, vous saurez tout ! Pour accompagner l’écoute, retrouvez l’article d’ActuaBD sur le sujet.
Jingle techno, c’est la chronique de l’exploratrice des abysses dessinés a.k.a. Manon qui poursuit. Après avoir fait l’unanimité avec La Méduse de Boum dans le précédent épisode, notre chroniqueuse propose à la conversation le nouvel album de science-fiction des éditions L’Employé.e du moi : Astra Nova, écrit et dessiné par Lisa Blumen. Un titre mélancolique et aux couleurs flamboyantes, enveloppé d’une aura mystérieuse que nourrie l’économie de mots de l’autrice. Intrigué ?
Le grand dégingandé revient ensuite aux sources de sa chronique en s’attachant à nous présenter l’histoire d’un éditeur indépendant, ici spécialisé dans le comics : les éditions Délirium fondées par Laurent Lerner. Après un bref rappel du parcours ayant mené cet ancien de Game One à créer la célèbre maison éditant Richard Corben en France, Théo décortique un catalogue fort de dix années de publication. Warren Publishing, 2000AD, et plus récemment l’édition indépendante américaine, rien ou presque n’est laissé de côté.
Enfin, l’émission se clôture sur la chronique de Louis, alias l’épicurieux bédévore qui ne cesse de se diversifier en penchant cette fois vers la bande dessinée d’aventure avec la série Grandville de Bryan Talbot, éditée par les éditions Délirium. Une uchronie steampunk anthropomorphique (rien que ça) à la sauce Conan Doyle. Et comme topping ? Quelques références à l’histoire de la bande dessinée s’il-vous-plaît. Un plat de résistance tout en action, à savourer sans modération.
Bonne écoute à toutes et tous et rendez-vous dans deux semaines pour un nouvel épisode du 48/64 !
TIMECODE :
3’43 - La météo des bulles - présentation du rapport GFK-FIBD 2022
17’29 - La chronique de l’exploratrice des abysses dessinés - Astra Nova, par Lisa Blumen, éd. L’Employé.e du moi
29’54 - La chronique du grand dégingandé - L’histoire des éditions Délirium
44’11 - La chronique de l’épicurieux bédévore - Grandville T.1 & 2, par Bryan Talbot, éd. Délirium, traduction de Philippe Touboul
(par Thomas FIGUERES)
(par Léo JACQUET)
(par Manon DIAS SANTOS)
(par Louis GROULT)
Cet article reste la propriété de son auteur et ne peut être reproduit sans son autorisation.
Une émission de Thomas Figuères et Manon Dias Santos. Ingénieur du son : Léo Jacquet. Avec la participation de Louis Groult et Théo Ancelin. Le 48/64 est une production La Cab studio. Logo © Corto Malaise (@corto_malaise).
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