Avec la seconde partie du diptyque "Noir burlesque", Enrico Marini livre un récit graphiquement inspiré et rendant surtout hommage aux longs-métrages du genre. Entre humour et action, parodie et sensualité, cette conclusion parachève l’ensemble et vient apporter un éclairage différent sur le premier tome. Marini lui-même nous livre les clés de lecture de cette mini-série.
Nous vous en parlions il y a quelques jours, Marini a terminé le polar sur lequel il travaillait depuis plusieurs années. Imaginé (...)
Enrico Marini
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L’hommage de Marini aux polars américains [PODCAST]
12 décembre 2022 Charles-Louis Detournay -
Noir Burlesque T. 2 : Marini avec son art et son rêve
19 novembre 2022 Kelian NGUYENAprès un premier tome qui tardait à se mettre en place, Marini conclut son diptyque en hommage aux polars américains dans un déluge de guns, de sexe et d’hémoglobine. Du grand polar, quoi !
Pour accorder un sursit à Slick, Caprice convainc Rex de l’engager dans un gros coup : dérober un tableau. Mais pas n’importe quel tableau, un portrait de la défunte femme du mafieux Don Zizzi, ennemi juré de Rex. Un tableau tout à fait particulier puisqu’il est peint par rien moins que Picasso avec... les cendres (...) -
Le Lake Como Comic Art Festival une convention à l’américaine dans un cadre sublime
26 mai 2022 François RISSELNous avons assisté, le temps d’une journée, à cette manifestation d’envergure ayant acquis rapidement une réputation internationale grâce à la notoriété des artistes présents chaque année : le Lake Como Comic Art Festival, le festival de BD du lac de Côme.
Le festival du lac de Côme, c’est avant tout une promesse : celle de rencontrer des créateurs rares, mondialement connus, dans un cadre absolument idyllique qu’est celui de la villa Erba, un monument d’exception situé sur les rives du lac au sein de la (...) -
Avec "Noir burlesque", Enrico Marini s’attaque au genre iconique du polar américain
17 décembre 2021 Charles-Louis DetournayAprès s’être attelé à l’aventure historique avec "Le Scorpion", à l’action avec "Olivier Varèse", au Péplum avec "Les Aigles de Rome", aux super-héros avec "Batman", au western avec "L’Étoile du désert", au fantastique avec "Rapaces" et à l’anticipation avec "Gipsy", Enrico Marini change encore de registre en s’attaquant à un autre univers iconique : le récit noir américain, avec "Noir burlesque" (Éditions Dargaud). Et ça déménage !
Certains albums restent longtemps en gestation, avant que l’on ait la chance (...) -
Stephen Desberg : « La question des personnages est fondamentale »
4 juin 2007 Nicolas AnspachAvec des succès publics comme Le Scorpion et IR$, Stephen Desberg fait partie des auteurs recherchés par les éditeurs. Cela ne l’empêche pas de mener certaines réflexions sur le métier et sur la politique internationale, qu’il partage aujourd’hui avec nous.
Vous publiez chaque année cinq ou six titres, ce qui est relativement peu par rapport à d’autres scénaristes. Ecrivez-vous dans la douleur ?
Pas du tout ! Il y a quelques années, cela aurait semblé beaucoup. Aujourd’hui, plusieurs scénaristes (...)